MAS "CAN JUBANY"
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Le mas "Can
Jubany" est l'un des meilleures mas du
Montseny et le plus représentative du groupe de maisons qui se
trouvent autour de "Can Cervera". C'est
un exemple parfait de ferme traditionnelle catalane de montagne. Une
ancienne demeure rurale. Cette ferme, aujourd'hui propriété des Cervera, avait été une maison très riche des ancêtres du Cardinal de Barcelone, Narcís Jubany et après, pendant de nombreuses années, la résidence des métayers du domaine "Can Cervera". Ses vieux murs de pierre, ont été témoins
d'aventures et de batailles pendant les " guerres carlistes * ".
Malgré les siècles passées, une soigneuse restauration nous a laissé un
gîte fantastique pour la destiner au tourisme rural. |
Passez quelques jours agréables dans un
grand gîte rural près de Barcelona. Une cheminé de bois vous accompagnera dans les soirées, la maison dispose aussi de chauffage central dans toutes les chambres. Le gîte est totalement équipée avec tous les ustensiles nécessaires pour la cuisine, salle de bain, chambres, etc... C'est un gîte rural complètement indépendant qui
dispose de deux chambres doubles, avec grands lits et une chambre
individuelle. |
Avec les deux maisons unies nous avons un formidable mas pour 13 personnes. |
Long: 2º 23' 26'' Lat: 41º 46' 14'' Tel: 00 34 93 8473066 Réserves et info |
* photo fons de page:
Gerbiers a Can
Cervera, milieu des années 40´ *Les carlistes rejettent et dénoncent la modification de l'ordre de succession en 1830 par Ferdinand VII (1784-1833), qui prétendit transmettre la couronne à sa fille aînée Isabelle (il n'avait pas de fils) alors que l'héritier « légitime » était son frère cadet l'infant Charles (1788-1855). Ce dernier refusa de prêter serment à sa nièce, et à la mort de Ferdinand VII il se proclama roi des Espagnes sous le nom de Charles V, soutenu par une partie du peuple espagnol, qu'on appela les « carlistes », c'est-à-dire les partisans de Charles (Carlos en espagnol). Le carlisme était un courant traditionaliste, attaché à la défense de la religion catholique et au maintien des droits des provinces (les Fueros). Il s'oppose à l'« isabellisme », plus libéral mais centralisateur. Cependant, malgré quelques succès militaires,
après trois guerres, les
troupes carlistes ne réussirent jamais à prendre le pouvoir à
Madrid, qui resta aux mains de la fille aînée de Ferdinand VII,
devenue Isabelle II |
v12.2014